Reprise # chou le chien
En un temps jadis j’eus un chien. Un Labrador que j’appelais affectueusement le « beu » ( pour « boeuf ») tellement l’enfant de chienne était fort et m’arrachait le bras à essayer de le retenir de courir comme un jeune chien fou. Rien n’y fit, aucun collier, aucune semonce, menace, privation ou récompense ne vinrent à bout de son enthousiasme . Morale : je n’ai jamais autant couru de ma vie. Taille de guêpe, mais combat perdu.
M’enfin presque. Une seule chose a fonctionné, un collier (étrangleur) avec des pics-pics à l’intérieur du collier, genre de cilice (fr, es), style Opus Dei (fr, es), acheté en toute légalité dans une boutique spécialisée.
Enfin il ne tirait pas ! Docile comme un agneau (ce qui est un peu surfait comme réputation). Ça n’a duré qu’une seule promenade. J’ai reçu une contravention d’un policier (…) qui…
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