[suite de « Les Morveux reprennent du service« ]
Au moins un siècle plus tard, l’Alain#2 se pointe, guéri et pressé de voir avancer notre projet.
Enfin ! On arrive à ramasser assez de planches, cartons, colombages pour nous mettre à l’oeuvre.
C’est la galère pour « planter » le colombage, notre charpente quoi. Le sol a beau être terreux on n’arrive pas à caler le colombage dans le sol compacté… Creuser avec une pelle à terre plus grande qu’on est haut on oublie. On oublie les pelles de plage itou.
Une petite ampoule d’idée s’allume : on va assembler les murs à plat sur le sol. Avouez que vous n’y avez pas pensé. Allez !
Alain#1 pressé de démontrer sa force physique supérieure se met à l’oeuvre et – c’est couru d’avance – se tape féroce un pouce avec le marteau. Effectivement, son pouce en a été une preuve é-cla-tan-te. Littéralement.
Et Alain#1 de partir en beuglant chez sa maman.
Coup de sonnette chez Alain#1 le lendemain matin. Sa maman ouvre la porte ne nous laissant même pas le temps de réclamer notre copain.
« Alain#1 s’est facturé un pouce. Le docteur a immilobisé le pouce dans une bagatelle, pi il doit prendre des punules contre la douleur. »
Moi, j’y comprends toujours rien au docteur.
Il a l’air complètement flagada l’Alain#1
Ben ! Et notre cabane château-fort alors ? 😦
Ah oui : le clou s’en est tiré indemne. 🙄
Ping : L’érection du château…fort | Un autre pavé dans la mare